D’abord, merci à tous ceux qui ont été à la messe pour nous dimanche matin, et à la surprise générale, il semble que vous ayez été nombreux … grand silence… enfin, en ces temps de désertification des lieux de culte et de grand froid sur la vieille Europe, il est important d’avoir l’esprit large : messe peut aussi s’entendre, apéro entre copains-copines après le vélo et il est parfaitement valable de remplacer le vin de messe par du vin chaud ou une caïpirinha, et même, allez tant qu’on y est, le vélo par la couette ! ( … suivez mon regard… coté Falleron…).
Enfin, le résultat est là, sous l’effet des grandes forces célestes mobilisées par vous tous chacun à sa manière, le vent est revenu plus vite et mieux pour Cœur de Chauffe et l’option sud a payé au-delà de la mise de départ !
Bilan du week-end : 18 places de gagnées ! … et donc 33 depuis mercredi matin et notre arrivée dans « le sud » pour 20 investies au départ, pas mal pour une action de vent cotée au clac40 et avec en prime deux jours de repos tranquille à récupérer des forces et de l’influx… pour le combat final.
Ah si, une petite déconvenue dimanche : Berokiki n’était pas au rendez-vous pour la grillade et la cote de vache : on a attendu une heure et puis on est reparti en se disant qu’ils avaient dû être bloqués dans un bouchon… la rumeur du web dit qu’ils naviguent avec des parbatages tant leur groupe du Nord est compact… c’est bedât quand même, sur un si grand océan… pourtant, on leur avait de venir nous rejoindre sur notre spot de surf désert !
Enfin, maintenant, on est devant eux, on ne risque plus de se prendre un os à moelle ou de jambon négligemment jeté par-dessus leur bord… Ah… si la grand-mère de Michel voyait ça, elle serait fière de son petit-fils et des petits plats mitonnés à bord… ce qui n’empêche pas Arnaud de râler dans son coin :
« Ouais Michel, mais Monsieur Beroki, c’est pas à ta grand-mère qu’il a filé un euro, et sûrement pas pour se rincer la gueule à bord de son bateau, alors faudrait revenir aux fondamentaux bon sang ! »
« Ouais, t’as raison, bizarre qu’on n’ait pas encore pété un spi à mi-course, c’est probablement qu’on a passé plus de temps dans la cuisine que sur le pont à envoyer de la toile… et puis… tu sais, j’ai l’impression que Willy WAOOOUUUHHHH elle me fait un peu perdre mes moyens… »
« …tain, pas gagné !".
Et pendant que j’écris mes bêtises bien calé devant l’ordinateur de la table à carte, Cœur de Chauffe surfe à nouveau depuis 20 heures ce soir par 20 nœuds de vent, à nouveau les sifflements des filets d’eau me parviennent transmis par les parois de la coque, tandis que les grincements des écoutes rythment le bruit régulier de l’écume dans le sillage, quelquefois recouvert par un brusque claquement du spi qui se dévente… et en tendant l’oreille, un léger râle sourd et saccadé se fait entendre : c’est Nick, notre 3ème équipier qui assure la conduite du bateau, tranquille, à son rythme, intraitable avec la houle, il corrige les moindres embardées d’une main ferme et souple ; Nick est notre pilote automatique NKE (pub !), celui sans qui nous ne pourrions naviguer à 2 dans ces très bonnes conditions ; la nuit, par vent arrière, il fait le job mieux que nous et beaucoup plus longtemps… Merci Nick, good job !
Riri & Lolo (pour Cœur de Chauffe)
Enfin, le résultat est là, sous l’effet des grandes forces célestes mobilisées par vous tous chacun à sa manière, le vent est revenu plus vite et mieux pour Cœur de Chauffe et l’option sud a payé au-delà de la mise de départ !
Bilan du week-end : 18 places de gagnées ! … et donc 33 depuis mercredi matin et notre arrivée dans « le sud » pour 20 investies au départ, pas mal pour une action de vent cotée au clac40 et avec en prime deux jours de repos tranquille à récupérer des forces et de l’influx… pour le combat final.
Ah si, une petite déconvenue dimanche : Berokiki n’était pas au rendez-vous pour la grillade et la cote de vache : on a attendu une heure et puis on est reparti en se disant qu’ils avaient dû être bloqués dans un bouchon… la rumeur du web dit qu’ils naviguent avec des parbatages tant leur groupe du Nord est compact… c’est bedât quand même, sur un si grand océan… pourtant, on leur avait de venir nous rejoindre sur notre spot de surf désert !
Enfin, maintenant, on est devant eux, on ne risque plus de se prendre un os à moelle ou de jambon négligemment jeté par-dessus leur bord… Ah… si la grand-mère de Michel voyait ça, elle serait fière de son petit-fils et des petits plats mitonnés à bord… ce qui n’empêche pas Arnaud de râler dans son coin :
« Ouais Michel, mais Monsieur Beroki, c’est pas à ta grand-mère qu’il a filé un euro, et sûrement pas pour se rincer la gueule à bord de son bateau, alors faudrait revenir aux fondamentaux bon sang ! »
« Ouais, t’as raison, bizarre qu’on n’ait pas encore pété un spi à mi-course, c’est probablement qu’on a passé plus de temps dans la cuisine que sur le pont à envoyer de la toile… et puis… tu sais, j’ai l’impression que Willy WAOOOUUUHHHH elle me fait un peu perdre mes moyens… »
« …tain, pas gagné !".
Et pendant que j’écris mes bêtises bien calé devant l’ordinateur de la table à carte, Cœur de Chauffe surfe à nouveau depuis 20 heures ce soir par 20 nœuds de vent, à nouveau les sifflements des filets d’eau me parviennent transmis par les parois de la coque, tandis que les grincements des écoutes rythment le bruit régulier de l’écume dans le sillage, quelquefois recouvert par un brusque claquement du spi qui se dévente… et en tendant l’oreille, un léger râle sourd et saccadé se fait entendre : c’est Nick, notre 3ème équipier qui assure la conduite du bateau, tranquille, à son rythme, intraitable avec la houle, il corrige les moindres embardées d’une main ferme et souple ; Nick est notre pilote automatique NKE (pub !), celui sans qui nous ne pourrions naviguer à 2 dans ces très bonnes conditions ; la nuit, par vent arrière, il fait le job mieux que nous et beaucoup plus longtemps… Merci Nick, good job !
Riri & Lolo (pour Cœur de Chauffe)
Petit correctif (reçu à midi de Loïc - je leur avais passé un gentil savon !) au sujet du classement de 11 h, pos à 8 h, "il y a une anomalie dans les relevés qui nous place moins bien que la réalité : notre position a été relevée à 7h31 au lieu de 8h pour quasiment toute la flotte : ça nous coute la distance parcourue en 29 minutes soit 8 noeuds/2 = 4 miles" ; "si tu nous rajoutes 4 miles on remonte à la 13ème place et il est probable que la 11ème place d'hier était liée à une erreur dans l'autre sens conclusion : nous sommes 13 (en fait 12ème à 12 h) et Beroki est toujours à 7 miles derrière? "
Eléonore